À la manière des situationnistes, nous partirons à la découverte d’une superposition de cartes : en route pour une itinérance dans le quartier de Chailly, nos oreilles se connecteront à nos orteils pour écouter le monde avec nos pieds. Ailleurs commence ici. Les voix de la ville parleront peut-être des langues étrangères. La ville ne sera pas bétonnée telle que nous la voyons – mais vibrante, conviviale et fragile: une ville de réfugiés, dont les textures sonores viendront nourrir nos imaginaires.
Lucie Eidenbenz développe un langage chorégraphique et performatif, avec une approche qui pose la question du public, du contexte, et des interactions entre des questions d’ordre à la fois social, politique et poétique.